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Aujourd'hui ça tape.
Le réveil de cet abruti me fais ouvrir les yeux. Cet imbécile se lève, se fou a la fenêtre et se prépare a se fumer une garro. Non. Je refuse. La gorge enrouée et ma vision entravée par des excréments d'oeil, je lui interdit en lui proposant un café et une cigarette mais cette fois en dehors de mon antre, de ma caverne. Au moment d'ouvrir la baie vitrée, la main posée sur la poignée en aluminium glacée un frisson remonta mon dos, j'ouvris la fenêtre une bise glaciale longea mon corps pour en trouver les moindres ouvertures et se glissa le long de mon dos, ma nuque, mes mains, et mes oreilles. Pas grave, la nicotine est plus forte que ça. On s'assois sur le banc enneigé, le banc blanc immaculé, la tête en compote, les mains congelées. Pas grave, la nicotine est plus forte que ça. On fume. Avec le froid notre fumée est plus impressionnante, plus belle ; et ressort bien sur mon jardin devenu coton. Le café engloutit, la cigarette consumée, les pieds paralysés au final on se sentais pas si mal. Au bout de deux minutes, il n'y avais rien a faire, on étais toujours autant dans le pâté. Alors bon, on a sortis la grosse artillerie, le nec plus ultra dit-on, la rolls royce, le Desert Eagle. On as sortis le meilleur des réveil. Résultant de l'équation pillon + son.
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