Différentes profondeurs.

On va la faire croissant aujourd'hui.
Du plus faible au plus élevé.
Croissant quoi.

CHAAAAAMAAAAAN. Pas loin de la minimale, pas loin de la progressive, Dabo nous as fait un son voire bien plus. Cette musique vous transporte dans son environnement, reposant, agréable, confortable, lent, mais doux et finalement entrainant.

Dabo - Chaman ( Version Longue )

Enquite un vieeeeeeiilleeeee track. Du SURKIN ! Et oui les amis, vous l'avez oublié celui-la ! Et ben Potatoe vous le ressort. Une musique plutot agréable mais qui bouge déja bien plus. Les mélodies sont sérieusement bandantes et les sons utilisés sont d'une magnifique sans limite. Radio Fireworks par Surkin, régalez vous.

Surkin - Radio Fireworks

Youpi du danger ! Non je ne suis pas un rebel, je ne cours pas vers le danger. Je cours vers Danger. AAAAAAAAAAHH, du bon vieux Danger, des mélodies enivrantes, et vives, se faisant pousser par un bon beat pas très profond mais qui reste présent puisqu'il est soutenu d'un son a la gratte electrique.

Danger - 88:88

Puis Morphosis vint parmis nous. Merci DatA. Assez originales, les mélodies évoluent constamment jusqu'a atteindre une phase de presque solo totalement folle, sur-excitée et presque aggressive, pour ensuite retomber dans les bras de Morphée. (La copine de Morphosis.)

DatA - Morphosis

NaSSER cette fois à la terrible tâche de nous enjoliver la vie. Ca commence tranquille avec une ligne de basse vraiment bonne, avant de se faire rejoindre par un son carrément house qui se glisse dans vos oreilles comme si de rien n'était, puis de se faire saturé un dernier coup. Serieux c'est du bon.

NaSSER - Come On ( Buggin' Remix )

WHAAAOOUU Digitalism. Et boum une grande claque. Gros son saturé, spécifique a la Digitalism ensuite un petit son aigu qui vous arrache pasmal les tympans puis un un vocal que je trouve monstrueu. La suite vous la connaissez. Un beat carrément lourd pour un son gras qui en impose.

Digitalism - Never Let Me Down Again ( Digitalism Remix )

Et pour finir une chose qui nous sort tout droit de la synergie entre Hard Rock et Electro.  C'est bizarre, mais laissez vous porter.

Cécile - Never Trust


The Potatoe.